KO-C, le flow dans la peau
- Par Gaël de SOUZA
- 05 oct. 2020 15:48
- 0 Likes
L’artiste veut graver son nom au panthéon des rappeurs célèbres au Cameroun et au-delà.
A son actif, plusieurs distinctions... Urban Jams Award, RMA Award, meilleure collaboration, artiste le plus « téléchargé » en 2018… En deux ans seulement de carrière professionnelle, KO-C bouleverse les scores, prend d’assaut les transistors, et s’impose ainsi dans le décor de la musique urbaine africaine. Artistiquement, la vie de KO-C virevolte entre succès et… succès. Avec ce jeune homme qui ne manque pas de classe, tout passe. Face à la concurrence, ses titres perturbent. Normal, c’est une machine à tubes. Si « Bollo c’est Bollo » (octobre 2017) annonçait l’arrivée d’un pro, « Sango » avec Fanicko (du Benin) a prouvé qu’il savait faire du show, « Balancé » (avec Tenor) l’aura élevé, aujourd’hui c’est « Ça a cuit » qui continue de faire du bruit, de faire parler de lui. Et que dire de « On s’en fout », interprété avec le célèbre chanteur ivoirien Ariel Sheney (poulain de Dj Arafat) ? Et « Mon pala pala » rend toujours les fans aussi dingues de lui.
Le flow ! Voilà le secret de cet artiste. Lorsqu’on suit les traces d’un modèle tel que Sarkodie, la star du Nigeria, ce n’est pas étonnant d’avoir ce talent-là. Un style à couper le souffle. Les amateurs de karaoké ne diront pas le contraire. Pas facile d’interpréter les titres de ce jeune Kamer. Au-delà du flow, les messages qu’il véhicule sont beaux. La persévérance, la détermination, la joie, la foi… sont des thèmes qui ont su meubler...
Cet article complet est réservé aux abonnés
Déjà abonné ? Identifiez-vous >
Accédez en illimité à Cameroon Tribune Digital à partir de 26250 FCFA
Je M'abonne1 minute suffit pour vous abonner à Cameroon Tribune Digital !
- Votre numéro spécial cameroon-tribune en version numérique
- Des encarts
- Des appels d'offres exclusives
- D'avant-première (accès 24h avant la publication)
- Des éditions consultables sur tous supports (smartphone, tablettes, PC)
Commentaires