Dépravation des mœurs : le cri d’alarme

Alain Georges Banassoubek, journaliste et enseignant de langue vient de commettre un ouvrage de sensibilisation et de moralisation.

Vivrait-on dans une société en plein effondrement des valeurs morales ? Le délitement du tissu social serait-il finalement en marche ? L’anormal serait-il devenu normal ? Le vice aurait-il pris le dessus sur la vertu ? Autant d’interrogations qui taraudent l’esprit à la lecture du nouvel ouvrage d’Alain Georges Banassoubek. Dans ce recueil de nouvelles intitulé « Le Printemps de la vertu », l’auteur fait une immersion au cœur d’une société en pleine déliquescence. 
Il part d’histoires réelles et vécues pour croquer, dans un style romanesque, un environnement où le vice prend progressivement l’ascendance sur la vertu. Dans une espèce de chirurgie sans anesthésie, l’auteur dénonce le non-respect des valeurs traditionnelles, les violences en milieu scolaire, la délinquance juvénile, le mariage forcé, l’inceste, les dérives dans les réseaux sociaux et l’immigration clandestine devenus de véritables phénomènes sociaux. Il fustige également le mensonge, la courtisanerie, la corruption et la flagornerie devenus la stratégie usuelle de certains hauts fonctionnaires pour flatter l’ego du dirigeant et bénéficier de certains égards. « Me voici au crépuscule de ma vie. J’ai déjà un pied dans la tombe. Ces honneurs, ces éloges, ces allégeances, j’en ai marre. Que ferai-je avec tout ce pouvoir outre-tombe ? Toute cette pluie de louanges ne fait que décupler ma douleur »,...

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