Caméra : un tour au Marché du film

La 6e édition de cette plateforme de rencontre entre producteurs et diffuseurs a été lancée lundi au Musée national à Yaoundé, village du festival.


Producteurs, distributeurs, diffuseurs, porteurs de projets cinématographiques, acheteurs et diffuseurs en quête de production, de réalisation, de mise en marché ou de diffusion cinématographique et audiovisuelle. Ce beau monde est réuni depuis lundi dernier dans la salle de convivialité du Musée national, quartier général de cette 26e édition des Ecrans Noirs. Le Marché international du film de l’Afrique centrale (Mifac) joue sa partition et enregistre sa 6e édition. Les débats se sont ouverts en présence de Blaise Nkene, secrétaire général du ministère des Arts et de la Culture. Il s’agit de l’une des activités les plus importantes du festival Ecrans Noirs, lancé depuis le 1er octobre dernier. 
Le 3 octobre lors de la cérémonie d’ouverture du Mifac, le délégué général des Ecrans Noirs, Bassek ba Kobhio a fait savoir que ce marché était non seulement le lieu par excellence de rencontres, mais aussi de promotion des projets et produits cinématographiques. Il a ainsi encouragé les jeunes acteurs, producteurs et réalisateurs venus des dix régions du Cameroun à saisir toutes les opportunités qui leur sont offertes à travers cette rencontre. Il a fait savoir que cette année, le festival mettait à leur disposition plus de 60 projets porteurs de produits et de services qui feront l’objet des échanges fructueux entre les producteurs, vendeurs et acheteurs des films. « Mes chers jeunes cinéastes, vous avez toute votre vie pour travailler. Alors travaillez ! Toutes les possibilités sont réunies ici pour faciliter votre réussite », a-t-il déclaré. 
Bassek ba Kobhio a rappelé ...

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