Entretien routier : la régie en appoint

Entre bouchage des nid de poule sur la route nationale N°3, section Yaoundé-Ndoupé; construction de certains points définitifs notamment dans les départements de la Haute Sanaga, du Ndian, etc.; entretien de routes en terre et traitement des points critiques notamment à Tombel-Bangem, Kumba-Ekondo Titi et Ebolowa-Effoulan Bango et cantonnage sur certains axes bitumés des routes nationales ; la brigade des travaux en régie du ministère des Travaux publics (Mintp) a plusieurs réalisations à son actif. On l’a encore vue à l’œuvre dernièrement aux côtés de l’entreprise Razel pour traiter le point d’affaissement d’Efok sur la nationale N4. Il est donc pleinement à l’oeuvre, cet outil opérationnel de la direction générale des travaux d'infrastructures du Mintp. Son action est clairement définie dans les textes qui l’encadrent. 
Si les travaux en régie sont caractérisés essentiellement d'une part, par les travaux d'urgence qui nécessitent un temps d'action très court, et d'autre part, par les travaux programmables assortis d'un volet stratégique du Mintp, ceux-ci doivent porter sur l'entretien du réseau routier des routes nationales, régionales et communales, à l'exception des voiries urbaines, y compris les autres travaux d'infrastructures. « Les cadres requis concernent les études de faisabilité, les travaux et le contrôle d'infrastructures routières qui revêtent un caractère urgent, stratégique et exceptionnel ; les prestations des maîtrises d'œuvre publique des travaux réalisés en entreprise qui nécessitent un temps d'action très court ; le contrôle et la surveillance des travaux des contrats dont la maîtrise d'œuvre n'a pas été définie ou démobilisée au terme de son contrat », ajoute Franclin Dzodoum, ingénieur en service à la Brigade nationale.
Pour ce qui est de l’exécution des travaux sur le terr...