Offres : les choix sont multiples

Paul Nkalbassou, jeune entrepreneur, travaille depuis quelques jours sur un projet de création d’une application innovante de tracking de bétail. Son projet a été sélectionné du fait de son originalité car il va permettre aux éleveurs de bétail d’avoir un œil permanent sur la position de leurs bêtes. L’Organisation non gouvernementale (Ong) qui l’a recruté a mis à sa disposition un espace de travail et adéquat, une ressource financière nécessaire, etc. « l’incubateur m’offre une plateforme de travail ainsi que toutes les autres formes d’accompagnement financier et technique. Durant trois mois, je peux exploiter la plateforme de cette Ong », raconte-t-il.  Comme lui, d’autres milliers de jeunes entrepreneurs incubés qui ont bénéficié du soutien du gouvernement dans ce sens. Selon Mariannick Ambassa, sous-directeur de la facilitation de création d’entreprises au ministère des Petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat, les incubateurs d’entreprises sont plus focalisés sur « le développement des chaînes de valeur des neuf secteurs prioritaires de la Stratégie nationale de développement 2020-2030 ainsi que celles des spéculations du Programme d’import-substitution agro-pastoral (PIISAH) en particulier pour ce qui est de l’agroalimentaire. »
Les résultats obtenus grâce à une collaboration fructueuse entre le gouvernement et ses partenaires sont nombreux. Notamment dans le cadre du projet de déploiement des technologies et innovations environnementales pour le développement durable et la réduction de la pauvreté (PDTIE). Ce programme a permis d’incuber plus de 100 innovations dans des domaines aussi divers que variés. La construction, l’agriculture, biologie, la pisciculture, l’aquaculture, etc. Selon les statistiques du ministère des petites et moyennes e...